Le Patriotisme Économique au Cœur de la Journée Internationale des Droits des Consommateurs au Cameroun.

Dans le cadre de la 39ème édition de la Journée Internationale des Droits des Consommateurs, la Chambre Nationale des Consommateurs du Cameroun (CNACOC) a pris la décision de mettre en avant le thème du patriotisme économique en remplacement de celui initialement proposé par l’ONU, l’intelligence artificielle. Cette décision a été motivée par le souci de tenir compte des spécificités et des enjeux nationaux du Cameroun.

Calvin NYA président national de la Chambre Nationale des Consommateurs du Cameroun (CNACOC), souligne que le patriotisme économique joue un rôle crucial dans la promotion du Made in Cameroon. Cette initiative vise à réduire la dépendance vis-à-vis des importations étrangères et à encourager la consommation des produits locaux. En effet, le Cameroun possède un potentiel économique important qu’il convient de valoriser et de soutenir.

Le président national la CANCOC a insisté sur l’importance pour les citoyens camerounais de soutenir l’économie locale en consommant les produits fabriqués sur le territoire national. Il a souligné que le patriotisme économique est une démarche collective qui nécessite l’engagement de tous les acteurs, y compris les consommateurs, les entreprises et les pouvoirs publics.

Par le biais de cette nouvelle orientation thématique, Calvin NYA, souhaite sensibiliser la population camerounaise à l’importance de favoriser le développement économique du pays et de contribuer à la création d’emplois locaux. Le message est clair : consommer local, c’est soutenir l’économie nationale et participer à la construction d’un avenir plus prospère pour tous.

Pour Calvin NYA, le patriotisme économique s’impose comme un pilier essentiel de la politique économique camerounaise. En promouvant le Made in Cameroon et en encourageant la consommation des produits nationaux, le pays renforce sa souveraineté économique et favorise une croissance durable et équitable pour l’ensemble de ses citoyens.

Afric-Eco/Etienne MONTHE

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