Douala : Le maire et les moto-taximen unis pour plus de sécurité sur les routes
Le 27 septembre 2024, la place de la Besseke à Douala a été le théâtre d’un événement marquant pour le secteur du transport par moto-taxi.
Une foule impressionnante de conducteurs s’est rassemblée pour la remise officielle des badges et chasubles homologués par la municipalité, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour cette profession.
Une initiative pour plus de sécurité et de professionnalisme
Cette opération, qui a connu une mobilisation massive des conducteurs de moto-taxis, était placée sous la présidence conjointe du Dr Roger Mbassa Ndine, maire de la ville, et de son deuxième adjoint, Dr. Roger Njitchoua, responsable de ce projet ambitieux. L’objectif principal de cette initiative est double : professionnaliser et assainir ce secteur d’activité crucial pour la mobilité urbaine à Douala.
Des mesures concrètes pour encadrer la profession
La distribution de badges et de chasubles homologués représente une étape importante dans la régularisation de cette profession. Ces équipements permettront non seulement d’identifier facilement les conducteurs autorisés, mais aussi d’améliorer la sécurité des passagers et des usagers de la route.
Vers une meilleure organisation du transport urbain
Cette action s’inscrit dans un programme plus large visant à structurer le secteur du transport par moto-taxi à Douala. Les autorités municipales espèrent ainsi réduire les incidents liés à cette activité et offrir un service de transport plus fiable et sécurisé aux habitants de la ville.
Réactions et perspectives
Les conducteurs présents ont accueilli cette initiative avec enthousiasme, y voyant une opportunité d’améliorer leurs conditions de travail et leur image auprès du public. Les autorités, quant à elles, prévoient de poursuivre leurs efforts pour professionnaliser davantage ce secteur, notamment par le biais de formations et de contrôles réguliers.
Cette journée marque donc un tournant important dans l’histoire du transport par moto-taxi à Douala, avec l’espoir d’un avenir plus sûr et mieux organisé pour tous les usagers de la route.
Afric-eco/Etienne MONTHE