POLITIQUE : LE PANAFRICANISTE CHARLES BLE GOUDE FOULE LA TERRE DE L’HOSPITALITE.
Le Président du Congrès Panafricain Pour La Justice Et L’égalité Des Peuples (COJEP) et ex-Ministre sous Laurent GBAGBO, Charles BLE GOUDE, a foulé la terre Camerounaise hier Mercredi 03 avril 2024.
Sur invitation du Premier Secrétaire Du Peuple Uni Pour La Rénovation Sociale (Purs), Serges ESPOIR MATOMBA. L’ancien ministre ivoirien de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Formation professionnelle Charles BLE GOUDE est arrivé au Cameroun par l’aéroport international de Douala au environ de 16h45munites.
Bénéficiant du soutien de l’ancien Président Ivoirien Laurent GBAGBO, cet homme charismatique bénéficia d’un accueil chaleureux des Camerounais à sa descente d’avion dans la capitale économique du pays, par des amis, sympathisants militants du partie politique.
A son arrivée, il fut accueilli par un collectif défendant les idéologies de cet héro national ivoirien ; dans le rang des défenseurs le grand conseiller de la Commune d’Arrondissement de Douala 4ème Serge ESPOIR MATOMBA, par ailleurs (PDG du groupe For You media), son personnel, amis, sympathisants militants du partie politique.
Face à la presse, le panafricaniste a émis des premiers propos pour dire toute sa reconnaissance au Peuple Camerounais.
« je dis merci au peuple Camerounais , au grand peuple , qui était à mes cotés pendant que j’étais dans le trou , vous savez c’est pendant la saison sèche que l’arbre compte les feuilles qui lui sont restées fideles , moi je compte les feuilles , parmi ces feuilles je compte le Cameroun en toute première position , alors je suis dont ici pour le seul but de dire merci au peuple Camerounais , je profite pour dire aussi merci aux Autorités Camerounaises qui ont permis que je puisse avoir un visa pour arriver ici , je me rends compte que j’ai quitté la Côte-D’ivoire ma terre natale et je suis au Cameroun ma terre d’hospitalité »
Il est également venu prendre part un Congres Panafricain d’une semaine, organisé par le partie résident au Cameroun et les panafricanistes du Cameroun.
Fabrice Tatisson