Le Maire de la ville de Douala lance un appel à la collaboration pour une ville propre

Le Dr. Roger MBASSA NDINE, Maire de la Ville de Douala a récemment lancé un appel aux organismes de protection de l’environnement et aux Comités de Quartier ou de Village pour une collaboration étroite dans la lutte contre les infractions liées à la gestion des déchets. Cette collaboration vise à sensibiliser les populations, à dénoncer les auteurs d’infractions et à embellir les espaces publics, dans le but d’atteindre l’objectif du « Programme Douala Clean City ».

Le Maire de Douala a sollicité la coopération des organismes de protection de l’environnement et des Comités de Quartier ou de Village pour lutter efficacement contre les infractions à la réglementation nationale et locale en matière de gestion des déchets. Cette collaboration est d’une importance capitale pour atteindre les objectifs du « Programme Douala Clean City », qui vise à rendre la ville totalement propre.

Selon le Dr. Roger MBASSA NDINE Maire de la ville, cette collaboration se concentrera sur plusieurs aspects, notamment la sensibilisation des populations sur la bonne gestion des déchets, la dénonciation des auteurs d’infractions, le curage des caniveaux, le balayage des voiries publiques, le désherbage des espaces et l’embellissement des lieux publics. Il considère également que la réussite de ce programme est tributaire de l’implication de chacun et de tous.

Le 1^er Magistrat de la ville le Dr. Roger MBASSA NDINE fait appel au sens du civisme et à l’engagement des forces vives de la capitale économique pour participer activement à cette initiative. Il est convaincu que la réussite du « Programme Douala Clean City » dépend de la coopération et de la mobilisation de toutes les parties prenantes, y compris les citoyens.

Il insiste sur le fait que la propreté de la ville est non seulement une question de santé publique, mais également un enjeu économique et touristique majeur. En effet, une ville propre attire les investisseurs et favorise le développement économique.

Afric-eco/Etienne MONTHE